Esse post vem da minha amiga Celma, de Paris, depois de visitar a cidade de Dubrovnik, “La venise Balkan”, na Croácia. Ela me mandou um email fazendo referência à destruição da cidade entre 1991 e 1992 “onde cairam mais de 2 mil bombas”, ao horror da guerra, às mortes, à loucura da guerra e da intolerância racial. Depois ela faz referência à Zweig e ao Brasil…Ela escreve:

>E ai penso logo no que escreveu Stefan Zweig no seu livro: “Le Brésil, terre d’avenir” : “Comment les hommes peuvent-ils arriver à vivre en paix sur la terre, en dépit de >toutes les différence de races, de classes, de couleurs, de religions et de convictions?… Car si le Brésil avait adopté les erreurs racistes et nationalistes de l’Europe, il >serait, au égard à sa structure ethnologique, le pays le plus divisé, le moins paisible et le moins tranquille qui soit au monde.”

>”étonnement, on s’aperçoit que toutes ces races, dont les différences sont si ostensiblement soulignées par leur couleur, vivent en parfaite harmonie et, malgré leur >origine particulière, ne rivalisent que dans une seule ambition : celle de faire disparaître tout particularisme et de devinir aussi complètement et aussi rapidement que >possible brésiliens…”

A foto é do querido Francis Martinet (certo Celma?).