Hoje domingo de muita chuva e frio baiano. Nada melhor do que ficar em casa lendo. Estou me deliciando com Les Samourais, de Julia kristeva (Fayard, Paris, 1990), que conta a saga de um grupo de pessoas que passam de 68 a 90 na França principalmente no meio intelectual: “sourtout, comment peut-on écrire des romans, donc contruire du faux, un monde tel qu’on le désire, et non pas tel qu’il est, alors que chacun est malade de mensonge? On croit guérir le mensonge par un beux mensonge. Voilà une fausse idée par excellence…” (p. 87).

E quando se fala da hipocrisia e do ” fazer de conta que…”, típicos do meio intelectual, a personagem afirma: “la capacité de faire semblant m’impressionne plus que la bêtise ou la maladie. Rien de plus dur, de plus partagé et éternel que la fausseté. Ceux qui la maitrisent sont les joueurs qui menent le monde. Je dois dire que mes réticences morales rendent les armes devant ma fascination pour leur habilité à faire semblant qu’ils ne font pas semblant, alors qu’ils font semblant et ne font que ça, tout en le déniant, sans cesse. (p.92).

E a chuva continua…